Je signe dans Libération cette tribune à l’initiative de Dominique Royoux dans laquelle nous appelons à la reconstitution de « bureaux des temps » dans nos villes pour se mettre en route vers l’effacement des heures de pointe et les « dé-mobilités ». Il nous faut réinscrire la dimension temporelle dans l’ensemble de nos politiques publiques locales et réinventer nos modes de faire société.